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Pour Équiterre, la Fondation David Suzuki et Vivre en Ville, le projet de REM doit aller de l’avant

01 février 2017

Des conditions à remplir pour améliorer son acceptabilité

 

Suite à la publication le 20 janvier du rapport du Bureau d’audiences publiques en environnement (BAPE) qui remettait en question certains aspects environnementaux et financiers du projet, des critiques ont été formulées envers le projet de Réseau électrique métropolitain (REM). Bien que certains éléments du projet restent à préciser, Équiterre, la Fondation David Suzuki et Vivre en Ville réitèrent au projet leur appui assorti de plusieurs conditions.

Pour les organismes, le REM est un excellent projet de par sa haute fréquence et sa grande amplitude horaire, des éléments essentiels du caractère structurant du transport collectif. Il va en outre améliorer l’accessibilité du centre de Montréal depuis plusieurs secteurs de l’agglomération (sud, nord, ouest). Le REM envoie également un signal fort en faveur de la consolidation de corridors urbanisés desservis en transport collectif, au détriment de la poursuite d’une urbanisation diffuse, de faible densité, éclatée autour des axes routiers. 

 

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